Colloque : Les héritages de la Révolution tranquille

Maitrescheznous
Photo : wikicommons

Le Département de philosophie du Cégep Garneau vous invite à venir réfléchir sur les héritages de la Révolution tranquille dans le cadre d'un colloque sur ce mouvement important au Québec. 

Date : Jeudi 27 octobre, de 14 h à 16 h 30
Lieu : L’Agora du Cégep, dans le pavillon Jean-Baptiste-Cloutier (A)
Événement gratuit et ouvert à toute la communauté

Ce sera l’occasion de faire le pont entre le passé et le présent, d’évaluer l’état de ce qui se voulait le grand projet de la société québécoise, de revenir sur la création des cégeps et sur leur rôle aujourd’hui. Ce sera, en bref, l’occasion de formuler nos fiertés et nos espoirs comme nos déceptions et nos inquiétudes.

L'événement soulignera également le départ à la retraite du professeur de philosophie Joseph Djossou, qui, tout au long de sa carrière, a animé avec la passion qu’on lui connait la vie intellectuelle du Cégep Garneau.

Programmation

  • Joseph Djossou (professeur de philosophie) : Où et comment trouver un point d’appui pour penser le présent face à l’emportement général sinon dans la Révolution tranquille?
  • Gilles Pellerin (professeur de lettres) : « Révélations tranquilles », étude narrative selon une perspective mauricienne de la dimension oxymorique du sujet à l’étude.
  • Daniel Jacques (professeur de philosophie) : La Révolution tranquille est-elle terminée? Et si oui, qu’en avons-nous finalement conservé?
  • Philippe Mottet (professeur de lettres) : La fatigue linguistique du Québec français : un héritage de la Révolution tranquille?
  • Raphaël Arteau McNeil (professeur de philosophie) : Notre demi-révolution : succès social d’un échec politique.
  • Alycia Dufour et Alice Guéricolas-Gagné (anciennes étudiantes du Cégep) : Notre rapport au territoire québécois, des années 1960 à nos jours; regards sur la Minganie (Côte-Nord), le quartier Hochelaga-Maisonneuve (Montréal), le centre-ville de Québec et l’Isle-aux-Coudres. De quelle façon occupons-nous et envisageons-nous ces lieux que nous habitons et qui nous habitent?